This is now!

This is my not-so-daily catharsis.

Month: February, 2012

Carta a un imposible

Querido señor Darcy,

Gracias a usted es que he tenido mi romance de siglo XIX en pleno siglo XXI, un siglo deshumanizado, desfasado, desglosado, segregado… un siglo terrible. Usted es la razón por la cuál no he perdido mi fe en los hombres, en el género y tampoco en el amor. Usted se ha convertido en mi hombre perfecto, en el caballero que siempre soñé, en aquel que nunca me defraudará.

Usted, como ya le hubiera expresado antaño es la fantasía y necesito conservarlo así, perfecto, infalible e inalcanzable, pero de alguna manera real. Cuando pierdo todas las esperanzas, cuando me siento despedazada en el interior, entonces y sólo entonces es cuando el recorrido de dieciséis minutos de mi casa a su hogar hacen que recobre la cordura y la tranquilidad. Le parecerá un tanto obsesivo esconderme tras de un árbol, con la esperanza de verle entrar a su casa, pero el simple hecho de estar ahí, de saber que usted duerme, sueña, habita, vive, existe y es real, hace que mi corazón se vuelva a cobijar en un sosiego inexplicable, y no, no pretendo volverme a cruzar con usted, porque en ese momento la idealización se derrumbaría. Y ni siquiera es tanto el hecho volverle a ver, si no el de no perder la fe y la esperanza de que en el mundo existen hombres como usted y es entonces que siento que el mundo y el tiempo no pueden ser tan malos. Usted me alimenta la razón, la esperanza y la ilusión. Usted se ha convertido en mi utopía romántica. Usted, es mío y solo mío en mi mente y en esta concepción sépase perfecto y aunque solo sea para una sola persona, usted de verdad lo es. Y yo le amo, solo por estar aquí y ahora.

Y adoro saber que usted existe, que la fantasía anda por el mundo, caminando. Siendo usted.

Bolita de papel encestada en la basura No.1

Premier essaie:

Nous jouons avec la terre comme si elle s’agitait du quelque chose qu’on pourrait reposer. Maintenant c’est la poubelle c’est qu’on raconte comme des histoires. Et pas on disant ça dans un sens péjoratif.

Il faut récrire des anecdotes, mais en allant les pieds bien posses sur la terre. Il faut faire la relation du fantastique avec ce qui est réel. Nous ne pouvons pas avoir la tête mise dans un miroir un voyant à la lune à chaque fois qu’on n’a pas ce que nous voulons ici, dans une réalité inhumaine, perdu, triste et confuse. Il faut bien prendre et apprendre où est-ce qu’on se trouve, il fallait même, savoir tout ça qu’on doit savoir depuis longtemps, depuis la naissance de la conscience de l’homme même. Il fallait même connaître les racines de l’humanité pour comprendre ce qu’on a besoin de faire avec l’endroit où nous habitons. C’est précisément ça qu’on devrait faire.

C’est vrai que l’idée de gagner la lune, de l’avoir d’un côte de la penser nôtre et très attractive, mais ce seulement parce que la lune a devenu un concept, quelque chose de mystérieux, ineffable, inexplicable, et ça, je pense c’est à cause de qu’on ne peut pas la toucher, on ne peut pas la sentir ici, et la lune change à chaque nuit, même dans la nuit, et ça nous affecte parce qu’est inexplicable, si bien on a étudie les mouvements de l’astre depuis l’enfance, on connaît bien de quoi s’agit cette merveilleuse chose, il y a quelque chose d’inexplicable dans l’éclat de la lumière de la lune. Et ça, ça c’est ce qu’on veux, le mystère, le rêve d’avoir quelque chose si beau pour nous.

Et après, on pourrait aller à la lune, une fois qu’on a pris la terre dans notre main. Nous pourrons rêver avec l’idée de l’univers entier.